Toi le gars banal.
Tu me rougis dans l’impossible Une tomate en conditions idéales Tu me peints le visage à la cochenille L’écarlate me brûle dans face Un coup de gêne dans ta canicule Un prétexte à aloès Pour apaiser l’irradiation de mon être. Tu me déclanches l’en pleine nuit une sirène Le Sasha Distel à 140 décibels Ma face, une épitaphe «Ici gît la fille que tu flabbergastes» J'la catch pas. T'es la définition-même de mot ordinaire Mais tu m'énerves l'hygromètre J'ai 14 ans, pas plus, quand j'te surprends À me croiser le regard entre 2 mouvements d'Arlaud. Tu dois mettre ma face rouge sur le dos des poids libres et des sprints Mais en vrai, c'est parce que j't'imagine toi qui me triathlonne l'échine
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Des lettres, des mots, des phrases... qui font parfois du sens.À propos de l'auteurePas de gants blancs pour la page blanche. Je salis l'immaculé. C't'un exutoire. Archives
Octobre 2023
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